En quoi l’analyse des SIG éclaire t-elle le banquier sur le risque potentiel de s’engager en octroyant des concours.
ITB Lyon 2014 2016 :: LA FINANCE D’ENTREPRISE :: Question 40 : En quoi l’analyse des soldes intermédiaires de gestion éclaire-t-elle le banquier sur le risque potentiel de s’engager en octroyant des
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En quoi l’analyse des SIG éclaire t-elle le banquier sur le risque potentiel de s’engager en octroyant des concours.
QUESTION 40
En quoi l’analyse des SIG éclaire t-elle le banquier sur le risque potentiel de s’engager en octroyant des concours.
INTRODUCTION
Les entreprises occupent une place centrale dans le développement économique et sociale d’un pays. Elles constituent la base du tissu économique. Au cours de leur vie, elles sont confrontées à des besoins de financement que ce soit lié à leur cycle d’exploitation ou à un programme d’investissement. Elles ont donc recours entre autre au financement bancaire qui est essentiel au développement économique.
L’octroi de crédit court terme ou moyen terme représente pour un établissement bancaire un risque financier plus ou moins important selon la qualité de la contrepartie. C’est pourquoi le banquier doit pouvoir apprécier au mieux les risques encourus. Pour cela, il dispose des éléments financiers que les entreprises ont l’obligation de produire au travers des comptes annuels que lui même va retraiter dans le cadre de son analyse en soldes intermédiaires de gestion ou SIG.
Nous verrons dans un premier temps les différents SIG et dans un second temps quelle analyse le banquier peut-il en faire dans le cadre de sa décision d’octroi de crédit.
I Les DIFFERENTS SOLDES INTERMEDIAIRES DE GESTION OU SIG
1 - Constitution des SIG
Toutes les entreprises sont soumises à des obligations d’information comptable et à ce titre produisent les comptes annuels qui retracent la vie de l’entreprise. Ils révèlent sa situation financière, son activité économique et sa rentabilité.
Les opérations d’un exercice d’activité sont donc reprises dans la liasse fiscale et classées selon un ordre économique convenu qui distingue 3 groupes de produits et de charges que sont : les produits et charges d’exploitation, les produits et charges financières et les produits et charges exceptionnels.
Cette présentation permet de dégager un résultat pour chacun des trois groupes mais reste insuffisante pour porter une appréciation pertinente et objective sur la manière dont le résultat s’est construit.
Pour répondre à ce besoin, le compte de résultat est fractionné en groupe de produits et de charges de même nature, permettant de calculer des étapes dans la formation du résultat : les soldes intermédiaires de gestion ou SIG.
Le compte de résultat retranscrit à travers les tableaux des SIG permet de mesurer la rentabilité de l’entreprise, c'est-à-dire la capacité à dégager des revenus en fonction de son activité et des charges à financer.
2 - Les différents SIG et leur analyse
Le Chiffre d’affaires (CA) = ventes de marchandises + production vendue
Témoin de l’importance de l’entreprise, la CA représente le montant des affaires réalisées avec des tiers dans le cadre de son activité. C’est un indicateur d’activité
La production de l’exercice = production vendue+/-production stockée+ production immobilisée
La production de l’exercice prend en compte l’intégralité de l’activité non commerciale de l’entreprise. C’est la valeur des produits et services fabriqués par l’entreprise que ces valeurs soient vendues, stockées ou immobilisées.
La marge commerciale = Ventes de marchandises – Coût d’achat des marchandises vendues (achats de marchandises +/- variation de stocks de marchandises).
La marge de production = Production de l’exercice (production vendue +/- production stockée + production immobilisée) – Coût d’achat des matières première consommées (achats de matières +/- variation de stocks de matières).
La marge commerciale est utilisée pour les entreprises de négoce et la marge de production pour les entreprises qui produisent (comme son nom l’indique).
C’est le 1er élément important de rentabilité représentant l’excédent du montant des ventes. C’est un indicateur de pilotage primordial pour le chef d’entreprise.
La Valeur Ajoutée (VA) = production de l’exercice +marge commerciale– consommation en provenance des tiers.
La valeur ajoutée mesure la richesse créée par l’entreprise.
Excédent Brut d’Exploitation (EBE) = VA – charges de personnel – impôts et taxes + subvention d’exploitation
Il mesure la performance économique de l’entreprise indépendamment de sa politique financière, fiscal, d’investissement et de distribution. Il mesure également la rentabilité des capitaux engagés dans l’activité et doit normalement permettre d’assurer l’autofinancement d’une entreprise
Il représente la capacité de l’activité de l’entreprise à gagner de l’argent. Si l’EBE est négatif, il s’appelle Insuffisance Brut d’Exploitation.
Le Résultat d’exploitation (REX) = EBE – DAP d’exploitation+ reprises sur amortissements et provisions d’exploitation- autres charges + autres produits.
Il mesure la performance industrielle et commerciale d’une entreprise prenant en compte la politique d’investissement et de prévoyance mais indépendamment de toute politique financière et de distribution.
Le Résultat Courant Avant Impôts (RCAI) = REX + ou - quote-part de résultat sur opérations faites en commun (+ si résultat positif et – si résultat négatif)
Le RCAI est le résultat dégagé par l’activité normale (exploitation et financier) de l’entreprise avant impôt et participation des salariés sur ce résultat. Il est l’indicateur d’analyse du résultat financier.
Le Résultat Net de l’exercice (RN) = RCAI +/- résultat exceptionnel – participation des salariés-impôts sur les bénéfices.
Le résultat de l’exercice mesure l’augmentation ou la diminution de la richesse des actionnaires et la capacité de l’entreprise à conforter ses fonds propres. Il intègre des charges et des produits non récurrents (exceptionnels)
Il sera ensuite soit distribué aux actionnaires, soit incorporé dans les fonds propres de l’entreprise dans les réserves.
Le résultat de l’exercice sert de base au calcul de l’impôt sur les bénéfices après déduction et de la participation des salariés au fruit de l’expansion (obligatoire pour les entreprises de plus de 50 salariés)
II - INTERPRETATION ET UTILITE DES SIG POUR UN BANQUIER DANS LE CADRE DE L’OCTROI DE CONCOURS
1 -Quel éclairage apporte les SIG au banquier
Pour un banquier, le compte de résultat dans sa présentation de base ne permet de réaliser qu’une étude élémentaire de la gestion de l’entreprise.
L’analyse des soldes intermédiaires de gestion doit répondre à la question suivante : « comment l’entreprise génère-t-elle son résultat et selon quels critères apprécier cette rentabilité́ ?».
Le concept de soldes intermédiaires de gestion permet de décomposer le résultat d'une entreprise pour améliorer le diagnostic financier et identifier les différents facteurs qui sont à l'origine du résultat de l'entreprise
-Soit identifier le profit réel issu de l’exploitation à travers notamment la VA, l’EBE etc…
-Soit Identifier la politique d’investissement de l’entreprise à travers le Rex qui tient compte des dotations aux amortissements d’exploitation. Plus une entreprise investit, plus les dotations aux amortissements seront élevées et impacteront donc fortement le Rex.
La politique de financement à travers le RCAI qui intègre les charges financières. Si elles sont élevées, cela peut souvent traduire un endettement important et/ou un recours important aux concours CT et donc une certaine dépendance financière. En principe, le coût de l’endettement financier ne doit pas dépasser 33% de l’EBE.
Mais parfois, les charges financières peuvent également correspondre à la rémunération des comptes courants d’associés présents dans la société.
-Soit identifier le profit dû à des éléments exceptionnels ce qui n’est donc pas du tout représentatif de l’activité de l’entreprise hors cas exceptionnels comme les activités de transports.
L’objectif principal est de porter un jugement sur la capacité́ de l’entreprise à dégager, à partir de son exploitation, des résultats et à financer la croissance. Ce sont, en effet, les résultats à venir qui permettent de dégager des ressources qui assurent le financement des investissements requis par la croissance et le remboursement futur des dettes contractées par l’entreprise.
Pour avoir une vision plus juste, il faut généralement tenir compte des 3 dernières années et analyser l’évolution des différents SIG. Cela permet de faire une moyenne car une année peut tout à fait avoir des résultats un peu exceptionnels que ce soit positivement ou négativement.
De plus, les SIG sont un élément de comparaison à d’autres entreprises du même secteur d’activité et/ou de même taille pour évaluer comment l’entreprise est positionnée dans son marché en terme de taille et de rentabilité.
2- Les raisons de l’importance des SIG pour un banquier
L'environnement économique est devenu de plus en plus complexe et contraignant pour les banques qui doivent maîtriser et minimiser leurs risques, ceux-ci étant principalement liés à l’octroi de crédit que ce soit court terme ou moyen long terme.
L'octroi d'un crédit est une nécessité sur le plan économique mais il est lié intrinsèquement à la notion de risque. Afin de minimiser ces risques et mettre en place les crédits adéquats, le banquier doit donc procéder à l'analyse de la situation financière de l'entreprise de manière à s’assurer que l’entreprise est rentable et solvable dans le but de pouvoir faire face à ses dettes. Cette analyse lui permet aussi d’apprécier le risque de défaillance de l’entreprise.
Chaque crédit est soumis à des risques :, qui peuvent être différents d'un crédit à un autre et bien entendu «Le risque zéro n'existe pas » mais on peut prévoir et anticiper les risques de chaque crédit, et prendre les précautions nécessaires qui peuvent se traduire par des garanties et des conditions.
CONCLUSION
Les Soldes Intermédiaires de gestion sont donc un élément indispensable à toute étude de dossier. Ceci étant, le banquier ne doit pas s’arrêter à cette seule étude. Il doit compléter son analyse par les éléments du bilan qui sont essentiels pour apprécier la structure financière de l’entreprise et les équilibres haut et bas de bilan.
Et outre tous ces éléments financiers, n’oublions pas de tenir compte de la stratégie du dirigeant, de sa personnalité et du marché sur lequel il évolue.
En quoi l’analyse des SIG éclaire t-elle le banquier sur le risque potentiel de s’engager en octroyant des concours.
INTRODUCTION
Les entreprises occupent une place centrale dans le développement économique et sociale d’un pays. Elles constituent la base du tissu économique. Au cours de leur vie, elles sont confrontées à des besoins de financement que ce soit lié à leur cycle d’exploitation ou à un programme d’investissement. Elles ont donc recours entre autre au financement bancaire qui est essentiel au développement économique.
L’octroi de crédit court terme ou moyen terme représente pour un établissement bancaire un risque financier plus ou moins important selon la qualité de la contrepartie. C’est pourquoi le banquier doit pouvoir apprécier au mieux les risques encourus. Pour cela, il dispose des éléments financiers que les entreprises ont l’obligation de produire au travers des comptes annuels que lui même va retraiter dans le cadre de son analyse en soldes intermédiaires de gestion ou SIG.
Nous verrons dans un premier temps les différents SIG et dans un second temps quelle analyse le banquier peut-il en faire dans le cadre de sa décision d’octroi de crédit.
I Les DIFFERENTS SOLDES INTERMEDIAIRES DE GESTION OU SIG
1 - Constitution des SIG
Toutes les entreprises sont soumises à des obligations d’information comptable et à ce titre produisent les comptes annuels qui retracent la vie de l’entreprise. Ils révèlent sa situation financière, son activité économique et sa rentabilité.
Les opérations d’un exercice d’activité sont donc reprises dans la liasse fiscale et classées selon un ordre économique convenu qui distingue 3 groupes de produits et de charges que sont : les produits et charges d’exploitation, les produits et charges financières et les produits et charges exceptionnels.
Cette présentation permet de dégager un résultat pour chacun des trois groupes mais reste insuffisante pour porter une appréciation pertinente et objective sur la manière dont le résultat s’est construit.
Pour répondre à ce besoin, le compte de résultat est fractionné en groupe de produits et de charges de même nature, permettant de calculer des étapes dans la formation du résultat : les soldes intermédiaires de gestion ou SIG.
Le compte de résultat retranscrit à travers les tableaux des SIG permet de mesurer la rentabilité de l’entreprise, c'est-à-dire la capacité à dégager des revenus en fonction de son activité et des charges à financer.
2 - Les différents SIG et leur analyse
Le Chiffre d’affaires (CA) = ventes de marchandises + production vendue
Témoin de l’importance de l’entreprise, la CA représente le montant des affaires réalisées avec des tiers dans le cadre de son activité. C’est un indicateur d’activité
La production de l’exercice = production vendue+/-production stockée+ production immobilisée
La production de l’exercice prend en compte l’intégralité de l’activité non commerciale de l’entreprise. C’est la valeur des produits et services fabriqués par l’entreprise que ces valeurs soient vendues, stockées ou immobilisées.
La marge commerciale = Ventes de marchandises – Coût d’achat des marchandises vendues (achats de marchandises +/- variation de stocks de marchandises).
La marge de production = Production de l’exercice (production vendue +/- production stockée + production immobilisée) – Coût d’achat des matières première consommées (achats de matières +/- variation de stocks de matières).
La marge commerciale est utilisée pour les entreprises de négoce et la marge de production pour les entreprises qui produisent (comme son nom l’indique).
C’est le 1er élément important de rentabilité représentant l’excédent du montant des ventes. C’est un indicateur de pilotage primordial pour le chef d’entreprise.
La Valeur Ajoutée (VA) = production de l’exercice +marge commerciale– consommation en provenance des tiers.
La valeur ajoutée mesure la richesse créée par l’entreprise.
Excédent Brut d’Exploitation (EBE) = VA – charges de personnel – impôts et taxes + subvention d’exploitation
Il mesure la performance économique de l’entreprise indépendamment de sa politique financière, fiscal, d’investissement et de distribution. Il mesure également la rentabilité des capitaux engagés dans l’activité et doit normalement permettre d’assurer l’autofinancement d’une entreprise
Il représente la capacité de l’activité de l’entreprise à gagner de l’argent. Si l’EBE est négatif, il s’appelle Insuffisance Brut d’Exploitation.
Le Résultat d’exploitation (REX) = EBE – DAP d’exploitation+ reprises sur amortissements et provisions d’exploitation- autres charges + autres produits.
Il mesure la performance industrielle et commerciale d’une entreprise prenant en compte la politique d’investissement et de prévoyance mais indépendamment de toute politique financière et de distribution.
Le Résultat Courant Avant Impôts (RCAI) = REX + ou - quote-part de résultat sur opérations faites en commun (+ si résultat positif et – si résultat négatif)
Le RCAI est le résultat dégagé par l’activité normale (exploitation et financier) de l’entreprise avant impôt et participation des salariés sur ce résultat. Il est l’indicateur d’analyse du résultat financier.
Le Résultat Net de l’exercice (RN) = RCAI +/- résultat exceptionnel – participation des salariés-impôts sur les bénéfices.
Le résultat de l’exercice mesure l’augmentation ou la diminution de la richesse des actionnaires et la capacité de l’entreprise à conforter ses fonds propres. Il intègre des charges et des produits non récurrents (exceptionnels)
Il sera ensuite soit distribué aux actionnaires, soit incorporé dans les fonds propres de l’entreprise dans les réserves.
Le résultat de l’exercice sert de base au calcul de l’impôt sur les bénéfices après déduction et de la participation des salariés au fruit de l’expansion (obligatoire pour les entreprises de plus de 50 salariés)
II - INTERPRETATION ET UTILITE DES SIG POUR UN BANQUIER DANS LE CADRE DE L’OCTROI DE CONCOURS
1 -Quel éclairage apporte les SIG au banquier
Pour un banquier, le compte de résultat dans sa présentation de base ne permet de réaliser qu’une étude élémentaire de la gestion de l’entreprise.
L’analyse des soldes intermédiaires de gestion doit répondre à la question suivante : « comment l’entreprise génère-t-elle son résultat et selon quels critères apprécier cette rentabilité́ ?».
Le concept de soldes intermédiaires de gestion permet de décomposer le résultat d'une entreprise pour améliorer le diagnostic financier et identifier les différents facteurs qui sont à l'origine du résultat de l'entreprise
-Soit identifier le profit réel issu de l’exploitation à travers notamment la VA, l’EBE etc…
-Soit Identifier la politique d’investissement de l’entreprise à travers le Rex qui tient compte des dotations aux amortissements d’exploitation. Plus une entreprise investit, plus les dotations aux amortissements seront élevées et impacteront donc fortement le Rex.
La politique de financement à travers le RCAI qui intègre les charges financières. Si elles sont élevées, cela peut souvent traduire un endettement important et/ou un recours important aux concours CT et donc une certaine dépendance financière. En principe, le coût de l’endettement financier ne doit pas dépasser 33% de l’EBE.
Mais parfois, les charges financières peuvent également correspondre à la rémunération des comptes courants d’associés présents dans la société.
-Soit identifier le profit dû à des éléments exceptionnels ce qui n’est donc pas du tout représentatif de l’activité de l’entreprise hors cas exceptionnels comme les activités de transports.
L’objectif principal est de porter un jugement sur la capacité́ de l’entreprise à dégager, à partir de son exploitation, des résultats et à financer la croissance. Ce sont, en effet, les résultats à venir qui permettent de dégager des ressources qui assurent le financement des investissements requis par la croissance et le remboursement futur des dettes contractées par l’entreprise.
Pour avoir une vision plus juste, il faut généralement tenir compte des 3 dernières années et analyser l’évolution des différents SIG. Cela permet de faire une moyenne car une année peut tout à fait avoir des résultats un peu exceptionnels que ce soit positivement ou négativement.
De plus, les SIG sont un élément de comparaison à d’autres entreprises du même secteur d’activité et/ou de même taille pour évaluer comment l’entreprise est positionnée dans son marché en terme de taille et de rentabilité.
2- Les raisons de l’importance des SIG pour un banquier
L'environnement économique est devenu de plus en plus complexe et contraignant pour les banques qui doivent maîtriser et minimiser leurs risques, ceux-ci étant principalement liés à l’octroi de crédit que ce soit court terme ou moyen long terme.
L'octroi d'un crédit est une nécessité sur le plan économique mais il est lié intrinsèquement à la notion de risque. Afin de minimiser ces risques et mettre en place les crédits adéquats, le banquier doit donc procéder à l'analyse de la situation financière de l'entreprise de manière à s’assurer que l’entreprise est rentable et solvable dans le but de pouvoir faire face à ses dettes. Cette analyse lui permet aussi d’apprécier le risque de défaillance de l’entreprise.
Chaque crédit est soumis à des risques :, qui peuvent être différents d'un crédit à un autre et bien entendu «Le risque zéro n'existe pas » mais on peut prévoir et anticiper les risques de chaque crédit, et prendre les précautions nécessaires qui peuvent se traduire par des garanties et des conditions.
CONCLUSION
Les Soldes Intermédiaires de gestion sont donc un élément indispensable à toute étude de dossier. Ceci étant, le banquier ne doit pas s’arrêter à cette seule étude. Il doit compléter son analyse par les éléments du bilan qui sont essentiels pour apprécier la structure financière de l’entreprise et les équilibres haut et bas de bilan.
Et outre tous ces éléments financiers, n’oublions pas de tenir compte de la stratégie du dirigeant, de sa personnalité et du marché sur lequel il évolue.
François- Invité
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